Mayuko Kibe

{ . VOTRE PERSONNAGE . }

Nom : Kibe
Prénom : Mayuko
Surnom(s) : Mayu-chan
Célébrité choisie : Keiko Kitagawa

{ . Détails ? . }

Âge : 18 ans
Date de Naissance : 13 mai
Lieu de Naissance : Kanagawa

Matières maitresses: Langues vivantes
Matières en difficulté : Morale

Sexe : ♀
Sexualité : ♀+♂=♥ & ♀+♀=♥

Race : Démon
Pouvoir : - Déferlante
Ce pouvoir permet de contrôler l’esprit d’un Ange et de lui faire faire tout ce que le Démon veut. Ce pouvoir ne peut s’utiliser que contre les Anges.
[ je peuuuux ? *-* siouplaaait *-* ]

{ . On veut tout savoir ! . }

Mon Physique :

Mayuko est d’une beauté impressionnante. Les hommes ne peuvent s’empêcher de se retourner sur elle dans la rue, de la déshabiller du regard. Il faut dire que malgré ses dix-huit ans, la démone a tout d’une véritable femme fatale : l’allure, l’attitude, le physique. Le caractère aussi.

Grande, élancée, Mayuko a une silhouette irréprochable. Ses longues jambes élancées et son ventre plat son digne des plus grands mannequins. Ce physique sculptural n’est pas sans attirer le désir de la gent masculine … Et encore, si elle n’avait qu’un physique parfait !

Car Mayuko n’est pas seulement dotée d’un corps à faire damner un saint [ XD désolée, trop tentant ] … Elle a un visage dangereusement attirant et captivant, qu’on a du mal à oublier. Sa bouche rose et charnue contraste avec sa peau opaline, la rendant encore plus belle ; mais ce que l’on remarque surtout, ce sont ses deux grands yeux noisette brillants de malignité et de méchanceté, tranchant avec la pâleur de son teint. Leur couleur n’est pas sans rappeler sa longue chevelure ondulée qui retombe en cascade dans son dos.

Certes, Mayuko est d’une rare beauté, le genre de fille que la nature a bien gâtée. Mais ne croyez pas que tout se fait tout seul : c’est un soucis quotidien et permanent que d’être toujours parfaite. Sport, manucure, shopping et coiffeur : rien n’est jamais laissé au hasard et tout doit être soigneusement étudié et sublimé.


Mon Caractère :

Autoritaire n’est pas un mot suffisamment fort pour décrire Mayuko. La jeune fille serait plutôt du genre despotique, tyrannique, dictatorial. C’est très simple : il n’y a, selon elle, aucun avis, aucun point de vue, aucune opinion qui doivent être pris en compte excepté les siens. Elle aime à penser que c’est un soleil, un magnifique astre, autours duquel gravitent quelques satellites qui ne sont là que pour admirer sa lumière et la servir. Ceux, trop éloignés et qui vivent dans son ombre, sont tous juste bons à devenir ses défouloirs et heureuses petites victimes.

Personne, non personne, n’est potentiellement digne d’elle dans l’esprit de Mayuko. Qui pourrait l’égaler, que ce soit en beauté, en popularité, en puissance ? Celui qui pourrait lui faire concurrence n’est pas encore né ! C’est une raison suffisante en soi pour regarder tout le monde de haut et instaurer un régime autocratique, non ?

C’est aussi une excellente raison pour ne se donner à aucun garçon. Les faire baver jusqu’à ce qu’ils se noient dans leur salive amuse profondément Mayuko, qui n’a pourtant jamais voulu de rendez-vous amoureux avec qui que ce soit : elle resterai « pure » pour l’homme qui la surpassera et sera assez bien pour qu’elle accepte de l’épouser et passer le reste de ses jours avec. Oui, en tant que Princesse, Mayuko se doit d’être une romantique.

La démon est certaine de sa puissance et de sa supériorité absolue sur tout le monde. C’est pour cela qu’elle considère que tout lui est dû et que rien ne peut lui résister. Entêtée et borner, rien ne la fait renoncer tant qu’elle n’a pas eu son dernier mot. La fin justifiant les moyens, Mayuko est prête à tout pour obtenir ce qu’elle veut.


Mon Histoire :

« On naît winner ou on naît loser : on ne le deviens pas. C’est dans les gênes, c’est écrit. Car pour moi le monde se divise en deux catégories : les gens faits pour commander, et ceux destinés à les servir. On ne peux pas lutter contre ca, c’est une fatalité à laquelle il faut se résigner.

« Moi ? Moi j’ai toujours su que j’étais de la première classe, de celles qui sont faites pour ordonner et être servies. C’est une chose que j’ai toujours prise pour acquise et pour l’instant, personne ne m’a prouvé le contraire ; personne ne m’a jamais été supérieur ni n’a pu me faire faire quoi que ce soit que je j’ai voulu.

« Pourquoi est ce que je me permet de dire ca ? Vous me pensez imbue de ma personne et vaniteuse ? Sauf que les faits sont là, si l’on me traite comme une Princesse alors je peux me comporter comme telle. Mieux vaut être franche que d’être pleine de fausse modestie et n’en penser pas moins, n’est-ce pas ?

« Toute petite déjà, tout le monde était à mes pieds. Les petites filles se disputaient entre elles pour jouer avec moi : normal, j’avais les plus beaux jouets et les plus jolies robes. Les garçons se battaient pour s’asseoir à côté de moi, puisque j’étais incontestablement la plus belle de toute la classe. Me donner la moitié de son goûter était même devenu une sorte d’honneur qu’ils se négociaient ! C’était déjà une sorte d’admiration mêlée de crainte qui me plaisait et m’enivrait déjà.

« J’étais petite, mais pourtant j’avais conscience de mon pouvoir sur les autres. C’était comme si ils n’étaient là que pour moi. Un simple mot suffisait pour qu’ils m’obéissent, ils s’empressaient de répondre à mes moindres caprices parce qu’il savait qu’un refus d’obtempérer leur vaudrait des représailles, comme je n’hésitais pas à frapper ou à faire frapper ceux qui me déplaisaient.

« A la maison, c’était exactement la même chose. J’ai été fille unique et j’en ai bien profité. Mes parents ne savaient pas me dire non et le moindre de mes désir était exaucé, dussent-ils y mettre le prix ou de l’énergie. « Je veux ! » « Je veux ! » était suffisant pour que j’aie, sans plus de difficulté.

« Oui, c’est une vie magnifique et enviable que j’ai. J’étais heureuse de voir à quel point tout m’était facilement acquis, comme j’étais puissante.

« Bien sûr, lorsque j’ai commencé à grandir, au collège et puis au lycée, les jalousies ont commencées à naître et beaucoup ont essayé de remettre en cause mon autorité et ma suprématie. La perfection énerve, c’est inévitable. Enfin, des petites révolutions très vite étouffées dans l’œuf : personne ne peut décemment s’opposer à moi. En général, après quelques humiliations, coups bas et chantage, ces petits impudents rentraient dans le rang et cessaient de m’importuner avec leurs petites revendications anarchistes : il faut bien que quelqu’un commande, non, sinon c’est l’anarchie !

« Récemment, je dois avouer être troublée. J’ai toujours eu de l’autorité, jamais elle n’a été réellement contestée ou on ne m’a sérieusement défié. Mais voilà, j’ai remarqué mon homologue masculin… Shunta Toshiro, une sorte de bellâtre qui fait baver les filles et semble être le Prince de sa classe. De la concurrence ? Franchement, j’en ai douté jusqu’à ce qu’il se permette, je ne saurais dire pourquoi, de … m’embrasser. Je considère cela comme un viol, il a volé mon premier baiser qui devait être pour l’Homme de ma vie … Désormais la Guerre avec un grand G est ouverte, tous les coups sont permis… Personne ne peux m’humilier impunément comme il l’a fait ! Dommage, il était assez mignon …


Relations :

• Shunta Tôshiro : C’est un tombeur et elle une chasseuse. Ils sont rivaux car chef des deux pires classes du lycée. Elle veut lui faire payer l’affront de l’avoir embrassée.

• Kyoko Imaï : Une amie de récente date, bien que pourtant, ces deux jeune femmes se connaissent depuis très longtemps.

• Isuzu Abe : Elle adore faire peur à cette professeur, parce qu’elle lui paraît vraiment très facile à terroriser.

{ . Derrière l'écran . }~

Pseudonyme : Mariko-chan
Âge : 16 [ presque dix sept … dans une semaine TT.TT ]
Comment as-tu connu le forum ? Par hasard. Je m’ennuyais alors je cherchais un forum cool en cliquant sur les partenaires. J’ai trouvé celui-ci cool.
Ton impression à ton arrivée ? Catchy n.n
Fréquence de connexion : Je squatte le PC plusieurs fois par jour mais je suis lente à répondre parce que perfectionniste.
Ton nombre de lignes habituel : Variable. Une trentaine au minimum, mais ca peut aller à beaucoup les jours de grande inspiration. U_U
Code : Ok ~ Yuuki ♪